Section - Lyon, dimanche 12h30. Bien plus qu'un simple match de Top 14... 

Les raisons de remplir les travées du Hameau sont multiples, ce dimanche. Voici les principales.

1. Quatre victoires, série en cours !

Qui l’eut cru ? Nos joueurs, tout simplement ! Ils sont partis à Toulouse avec la ferme intention de réaliser l’exploit. Ils l’ont signé, de la plus belle des manières : 20-10, 2 essais à 1 au terme d’un match maîtrisé. Nous restons ainsi sur quatre victoires consécutives en Top 14, face à quatre grands du championnat : Clermont, à Bordeaux-Bègles, Montpellier, à Toulouse. De loin, la venue du LOU peut apparaître comme une formalité. Le croire serait une grosse erreur. Bernard Pontneau présente ainsi le nouveau défi : « Nos avants savaient que s’ils ne répondaient pas présents à Toulouse, on n’existerait pas. Contre Lyon ce sera pareil. Si on ne répond par présents, ce sera très, très compliqué... »

 

2. Le collectif palois.

A la Section, les équipes changent, le contenu reste. Le système de jeu est si bien assimilé par l’ensemble du collectif que Simon Mannix et son staff peuvent alterner les joueurs sans nuire au rendement global. On l’a vu à Toulouse où le tandem Votu-Fumat a fait oublier la paire Vatubua-Smith, où Sean Dougall a signé une performance individuelle dans la lignée de ses sorties en Challenge Cup. Cette progression collective fait aujourd’hui la force de la Section. Encore faut-il le prouver sur chaque match : donc face à Lyon.

 

3. La saison se joue maintenant. 

Le mois à venir est celui de tous les espoirs, de tous les rêves, de toutes... les craintes, aussi. Sur les quatre prochaines journées, trois matchs se dérouleront au Hameau : après Lyon, Grenoble viendra le samedi 18 février à 18h30 et juste avant la réception de Castres le 11 ou 12 mars, nous effectuerons le plus court déplacement de l’année chez le voisin bayonnais. Derby le samedi 4 mars à 18h30 au stade Jean-Dauger. Notre équipe pointe ce jour aux portes du Top 6, on imagine où elle peut se situer à la mi-mars. Voilà pourquoi, plus que jamais, ce dimanche face à Lyon et le 18 février contre Grenoble, nos joueurs ont besoin de vous !

 

4. Michalak, Bonnaire, Privat, Puricelli... Ne vous fiez pas à la 12e place des Lyonnais au classement. Le promu est en passe de se maintenir bien avant le sprint final. Il lui manque un succès à l'extérieur ! Or dimanche, l'occasion est belle de frapper un grand coup sur la pelouse où les Grenoblois, leurs adversaires directs, joueront sept jours plus tard.

Lyon ? C'est Frédéric Michalak, Julien Bonnaire, Thibault Privat, le capitaine Julien Puricelli, le Fidjien Napolioni Nalaga, le Tongien Hemani Paea, l'Australien Mike Harris, le Néo-Zélandais Hosea Gear. Du lourd, du rapide, de l'expérimenté. Bref, du danger dans toutes ses lignes.

 

5. Le temps clément. Oublié l'épisode glacial du match reporté, place ce dimanche à un temps clément. Les éclaircies sont annoncées par Météo France, la température avoisinera les 13 degrés au coup d'envoi. Tout sera réuni pour suivre un grand et beau match. Pour assister à la cinquième victoire consécutive...

 

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