Le capitaine des Vert et Blanc a donné son accord pour prolonger son engagement à la Section de 2 saisons supplémentaires.
Alors que dans quelques semaines, Quentin Lespiaucq célébrera son 100e match sous le maillot Vert et Blanc, notre talonneur a choisi de poursuivre l’aventure avec la Section jusqu’en 2022. Formé à Mugron, son fief des Landes où il passe 10 saisons, Quentin rejoint l’US Dax en 2010 et découvre alors la PRO D2. Il arrive au Centre de Formation de la Section en 2015 et dispute 13 matchs de TOP 14 dès sa première saison.
Dynamiteur, fédérateur et travailleur, il s’impose très rapidement dans l’effectif Vert et Blanc au point de devenir un titulaire indiscutable à son poste. Capitaine depuis la fin de saison dernière, son état d’esprit et sa combativité sont un exemple pour le groupe. Il compte 2 capes avec l’équipe de France U20, 2 sélections avec les Barbarians Français et faisait également partie de la liste de 65 joueurs pré-sélectionnés pour la Coupe du Monde 2019.
Quentin Lespiaucq : « Je suis très fier de pouvoir prolonger l’aventure à la Section pour les deux prochaines saisons. Après cinq ans passés au club, je mesure les étapes franchies ainsi que le chemin qu’il me reste à parcourir. Mon envie de progresser et gagner sont toujours mes priorités en tant que joueur et compétiteur. J’espère continuer d’apporter ma contribution au développement du club et de l’équipe sur un territoire qui me tient à coeur et dans lequel je me reconnais. »
Bernard Pontneau : « La prolongation de Quentin est bien évidemment une excellente nouvelle, nous en avions fait un dossier prioritaire et nous nous réjouissons de sa confiance envers le projet du club. Resigner Quentin, c’est resigner un joueur du cru, certes un Landais, mais c’est la preuve que notre formation fonctionne et que nous savons attirer et garder les jeunes talents. Notre capitaine est un guerrier des temps modernes, un garçon apprécié de tous qui apporte beaucoup sur et en dehors du terrain. Personnellement, c’était important pour moi, un joueur a besoin de référentiel pour avancer, un Président aussi. Le rugby moderne a changé, certes, mais parler aussi d’un élément affectif qui existait de ma part dans cette signature est une évidence. »